À l’occasion de la Foire du Livre de Bruxelles, le Centre Jean Gol a organisé une conférence dédiée à la politique économique argentine sous Javier Milei.
Cet événement, pour lequel le public a marqué un vif intérêt, s’est tenu dans un contexte tendu, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre pour garantir la tenue du débat face aux menaces et aux tentatives d’intimidation. Nous avons néanmoins maintenu la conférence grâce à l’appui des forces de l’ordre. Nous ne céderons jamais face à ces intimidations.
Cet événement a été entaché par des actes de vandalisme inacceptables : des tags haineux ont été apposés sur les murs du site, témoignant d’une intolérance grandissante à l’égard de nos valeurs et idées libérales.
Qui paiera pour ces dégradations de bien public ? Notre société. Ces violences ne sont pas anodines.
Elles sont le fruit d’un climat de radicalisation entretenu par certains courants extrémistes et par des partis de gauche qui, à court d’arguments, préfèrent la caricature et l’invective. Pire encore, elles illustrent une montée préoccupante de l’antisémitisme et du rejet de toute pensée qui ne s’aligne pas sur les dogmes du communautarisme radical.
Dans ce contexte, la responsabilité des partis politiques est aussi de condamner fermement toute forme d’intimidation visant à empêcher le débat démocratique. Se taire face à ces dérives, c’est les encourager.
Le Centre Jean Gol continuera à défendre les valeurs qui ont fait de la Belgique un pays libre et prospère : la liberté, le débat d’idées et le respect des principes démocratiques.
Enfin, nous tenons à remercier tous ceux qui ont contribué au succès de cette conférence et à l’animation de notre stand, preuve que le combat des idées libérales est plus vivant que jamais.