De nombreuses études internationales démontrent que ce sont dans les systèmes où les écoles ont le plus d’autonomie que les résultats sont les meilleurs. Or, depuis plusieurs législatures en Fédération Wallonie-Bruxelles, on assiste à une augmentation exponentielle des circulaires, notes, etc. dont l’examen (souvent fastidieux) tient le directeur éloigné de son rôle pédagogique.
Tout est défini par circulaire, cadenassé, verrouillé, etc. Les directions n’ont presque plus de marge de manœuvre, voyant ainsi leur autonomie se réduire à peau de chagrin.
Dans des systèmes éducatifs friands de réforme, tel que le nôtre, forme-t-on les directeurs d’écoles à la conduite de changement, leur donne-t-on les structures ou instances adéquates pour la gouvernance de l’établissement ?
Tout est défini par circulaire, cadenassé, verrouillé, etc. Les directions n’ont presque plus de marge de manœuvre, voyant ainsi leur autonomie se réduire à peau de chagrin.
Dans des systèmes éducatifs friands de réforme, tel que le nôtre, forme-t-on les directeurs d’écoles à la conduite de changement, leur donne-t-on les structures ou instances adéquates pour la gouvernance de l’établissement ?